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Depuis 1777...

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Orgues historiques

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Troubadour mécanique

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La sainte Croix

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Retour sur la Soirée Une seule vie...Fragile

Rencontre chaleureuse et émouvante le 12 décembre à Carouge :

Alors que dehors la pluie, la nuit et le vent ont tout fait pour nous empêcher d’arriver, nous voici enfin dans la salle Salève du centre paroissial Ste Croix de Carouge, dans un décor simple et chaleureux. Une trentaine de chaises sont disposées là. Debout à quelques mètres, le père Giovanni Fognini et Éric Ackermann, aumôniers respectivement catholique et israélite des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), se saluent chaleureusement. Ici, un buffet d’apéritif avec des pizzas chaudes, des petits légumes et autres chips sont partagés par les uns et les autres. L’Echo Magazine est lui aussi présent avec plusieurs exemplaires proposés sur une table. Le contraste entre dedans et dehors détonne, on est bien au chaud, à rencontrer des gens de Carouge ou d’ailleurs et de tous âges dans une ambiance accueillante et bienveillante.

À 20h, les orateurs prennent place, outre les aumôniers déjà cités, Nicoletta Cacitti, accompagnante aux malades en milieu hospitalier prend place à leurs côtés pour ce qui prendra la forme d’échanges, entre la conversation et la confession sur la fragilité de la vie, notamment lors de l’hospitalisation et à toutes les questions qu’elle peut poser. Nicoletta, Éric et Giovanni nous présentent d’abord ce qui les a amenés à fréquenter ces couloirs d'hôpital dans ce rôle atypique d’aumônier ou de visiteur laïc, ni patient ni soignant, mais pourtant présents et importants. Leurs expériences sont variées, leurs appels différents, (cf. encadré), mais leurs rôles les rapprochent. 

L’hôpital, lieu de souffrance et de deuil

Dans ce lieu où beaucoup souffrent ou meurent, ils arrivent un peu comme les mages que la Sainte famille a accueilli à Bethleem, quelques jours après la naissance du Sauveur. Par des chemins différents, ils viennent offrir des trésors de présence, d’écoute et d’humanité aux patients qui en ressentent le besoin, parfois même à des soignants dont la charge de travail est considérable. Ce soir à Carouge, ils nous partagent, entre anecdotes et témoignages, les trouvailles découvertes auprès des personnes hospitalisées ou endeuillées. Mais comme chaque trophée, sa conquête nécessite de prendre des risques et de se mettre en danger… 

D’ailleurs, étymologiquement le mot patient concerne celui qui souffre, celui qui pâtit, souvent bien seul, pas nécessairement celui qui attend qu’on s’occupe de lui dans une salle d’attente. Nicoletta partage l’importance de ces visites dans la fragilité de la maladie, dans l’attente, parce que les jours et les nuits sont longues pour les personnes, seules, à l’hôpital. Eric nous appelle à bien distinguer la solitude qui repose et l’isolement qui sépare, ce qui éclaire la dimension sociale de son action. Giovanni nous invite aussi à considérer les différentes fragilités des patients outre la santé : pour certains, ce sont les factures, pour d’autres, le couple, le travail ou le visa… et que son rôle est d’aider ces personnes à retrouver ce qui est vivant en eux. 

« Je suis avec vous, je vous vois, nous sommes ensemble », ces trois paroles sont mentionnées par Eric, comme bases pour visiter une personne atteinte d’Alzheimer, mais finalement pour toute visite. Pendant celles-ci, il s’agit de proposer aux gens, de « faire un bout de chemin ensemble », de les écouter sans donner de conseil, précise Giovanni. Il nous partage sa première réaction face à un patient déclarant vouloir mourir : « Mais non, ça ira mieux demain », lui avait-il répondu, hors-sujet. Quand on arrive comme ça dans une chambre d’hôpital, on se présente, on dit qui on est, et les patients décident s’ils veulent nous parler ou pas, explique Nicoletta. Tous disent ne pas être à l’hôpital pour parler.   

L’exemple de Job, accablé de mille maux dans un livre de la Bible, est rappelé aux intervenants qui saisissent la balle au bond. Dans son malheur, celui-ci est accompagné par ses amis, mais ce ne sont pas forcément eux qui arrivent à le consoler. Nicoletta nous raconte combien sa présence était attendue par les soignantes auprès d’une personne qui leur demandait beaucoup, mais ne lui demandait rien que de rester là, silencieuse pour l’apaiser, sans rien dire, mais en étant là… On sait qu’on a été « à sa place dans ces moments-là ». Il s’agit de l’humilité, tellement présente dans les textes bibliques, mais aussi de se détourner de sa propre souffrance pour constater ce qui ne va pas ailleurs, nous indiquent Eric et Giovanni, ce qui n’est pas si simple. Il s’agit de deuils, comme on en fait tous les jours, quand on déménage, quand on change de travail, de projet professionnel, quand on est confronté à quelque chose qui ne sera plus.

Habiter la souffrance par la présence, en silence

En tant qu’aumônier, Eric et Giovanni doivent aussi accompagner et accueillir les familles dans une détresse spirituelle, dans une rage contre Dieu. La réponse est d’ailleurs plus souvent dans le silence que dans telle ou telle parole, Éric nous le redit. Face au deuil d’une famille qui vient de perdre un enfant, sachons attendre qu’elle s’adresse à nous, avant de dire des absurdités comme « on sait ce que c’est » ou encore « on est passé par là ». Reconnaître que c’est insensé est parfois la seule réponse sensée. Giovanni mentionne ainsi l’importance d’accueillir la souffrance de l’autre personne avec ses mots à elle. Une fois, il propose une prière à la personne dans l’incompréhension en y reprenant et en y appuyant sa colère et son incompréhension. Une autre foi, il invite la personne à « mettre ce bon Dieu à la poubelle » s’il ne lui est d’aucune utilité. Dans les deux cas, il lui aura fallu d’abord écouter et prendre le temps pour percevoir la réponse adaptée. 

Souvent, il y a aussi la fin de vie à accompagner. Eric nous raconte ce qu’il a vécu auprès d’une dame âgée en train de mourir. Depuis deux jours, elle avait fermé les yeux et souffrait. On entendait ces râles et son combat intérieur, et on se relayait auprès d’elle, mais on avait laissé son mari, déjà mal en point, deux étages en dessous. À ses côtés depuis quelques temps, il a pris la parole pour lui promettre qu’il s’occuperait de son mari. Elle a rouvert les yeux, l’a regardé, et est partie, finalement. Parce que la vie est là et qu’il faut la voir, même dans la grande douleur. Parce que la vie est là, vraiment « avant, pendant et même après la mort ». 

À ce moment-là, on est loin du centre paroissial et de préoccupations matérielles, mais une pause est proposée pour permettre aux uns et aux autres d’échanger, en privé, de manger pour ceux qui n’ont pas eu le temps avant. Vingt minutes sont ainsi données aux orateurs et au public, qui pourra ensuite formuler ces questions. On reste donc à discuter de la vie avec son voisin ou sa voisine, de sa fragilité et de ces lumières que Nicoletta, Eric et Giovanni ont su nous partager, encore éblouis, mais heureux, comme si on avait vécu Noël avec quelques jours d’avance. 

Comment réagir aujourd’hui et pour préparer demain ? 

Deux questions sont posées : Une mère de famille demande comment faire passer ses qualités humaines de bienveillance et d’espérance aux générations suivantes, à nos enfants. Le curé demande aux hommes de Dieu comment garder son calme face à la révolte et au rejet qu’ils peuvent susciter.

Face au rejet ou à la révolte des patients, les aumôniers s’accordent pour répondre qu’ils ne s’en offusquent pas, qu’ils ne sont pas là en juges ni ne se sentent jugés personnellement. La révolte, le rejet qui s’exprime, est-ce contre eux ? Giovanni en doute, Eric passe outre. Giovanni précise que si on veut offrir la paix à ceux qu’on visite, il faut la cultiver en soi et accepter de ne pas juger. Pour la jeune génération, Eric nous invite à la patience en nous reformulant la réponse donnée sur le sens d’être en vie par un Rabbin qui avait perdu, et sa famille, et sa communauté, pendant la guerre : « Dieu me donnera la réponse là-haut, je préfère vivre ici avec ma question, qu’au ciel avec sa réponse ». Tous déplorent en effet que l’« on communique de plus en plus, mais qu’on se parle de moins en mois ». 

Oui, ce dont la jeune génération a besoin, comme la moins jeune d’ailleurs, c’est d’apprendre à attendre, comme le peuple juif après l’épisode du veau d’or a dû patienter des mois avant de recevoir à nouveau les tables de la loi. Elle doit apprendre la distance, y compris avec son téléphone, se garder du danger de l’immédiateté. 

En conclusion, les intervenants sont remerciés par le public, qui a applaudi chaque intervention. Ils sont remerciés d’avoir permis aux personnes présentes de se préparer à l’hôpital, à apprendre la patience avant d’être patient, à apprendre la distance avant d’être isolé… et d’ici là, à cultiver les pépites de vérité qui leur ont été proposées en se manifestant auprès de ceux de leur entourage hospitalisés, sans leur donner de conseils, mais comme pour cheminer avec eux, en les écoutant, en étant présents, humblement, amicalement, en silence, mais les yeux grand ouverts à cette fragilité qui nous rassemble… en vie. 

 

 

Nicoletta : Retraitée depuis peu, Nicoletta Cacitti est accompagnante aux malades en milieu hospitalier. Elle qui désirait devenir médecin, a finalement travaillé dans la gestion des assurances sociales et des soins à domicile. Après avoir suivi une formation, elle visite désormais les HUG deux jours par semaine en bénévole laïque. Elle l’avait beaucoup fréquenté les années précédentes, en tant que patiente, enchaînant six opérations en quelques mois, mais visitée par les aumôniers.

Éric : ministre du culte à la grande synagogue de Genève, Beth-Yaacov, Éric Ackermann est aumônier pour la communauté juive des hôpitaux universitaires. Il se souvient avoir toujours œuvré dans le social, dans le sillage de parents engagés, pour que la communauté israélite de France survive après la Shoah. De colonies de vacances en accompagnements divers, il assume aujourd’hui la charge spirituelle de l’EMS les Marronniers. 

Giovanni : prêtre originaire d’une famille italienne immigrée à La Chaux-de-Fonds quand il avait 6 ans, Giovanni Fognini est un des aumôniers catholiques des HUG. Prêtre à Genève depuis 47 ans, il n’était pas toujours satisfait en paroisse, car il ne touchait pas en priorité les pauvres de l’évangile. C’est ainsi qu’il s’est proposé à l’aumônerie et y exerce depuis une vingtaine d’années, accompagner les malades hospitalisés jusqu’en soins intensifs. 

Université de la vie - Formation en bioéthique

Après la soirée une seule vie, la paroisse Sainte-Croix accueille Alliance VITA pour une nouvelle session de l’Université de la vie, son cycle de formation bioéthique, 4 jeudis à  20h, les 18 et 25 janvier puis les 1er et 8 février 2024, sur le thème : « PARIER SUR LA VIE, est-ce raisonnable? ».
Ces soirées auront lieu au centre paroissial Sainte-Croix au 32a rue Jacques-Dalphin.

Peur de l’avenir, dépassement de soi, préoccupations écologiques, (non) désir d’enfant, forces de vie, famille, solidarité, bien vieillir, fin de vie, transmission...
Dans notre monde en constante mutation, parier sur la vie humaine peut sembler totalement fou. Qu’est-ce qui nous freine, nous entraîne, nous relie pour faire le pari de la vie ?
Nous réfléchirons aux questions essentielles de la vie, le début et la fin de vie, la place du corps, du temps, du soin, du virtuel, de l’écologie intégrale et des liens humains… 

Au programme :

1ère soirée - 18 janvier : La vie à son commencement
2ème soirée - 25 janvier : La vie dans son déploiement
3ème soirée - 1er février : La vie à son achèvement
4ème soirée - 8 février :  Parier sur l'avenir 

Grâce à des intervenants de qualité, experts et témoins, l'Université de la vie décrypte les enjeux actuels de la bioéthique. 

Vous pouvez vous inscrire en suivant le lien suivant :  www.universitedelavie.fr .  
Pour plus d'information, n'hésitez pas à visiter le site internet ou à  nous contacter par mail : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

N'hésitez pas à en parler autour de vous !

 

Depuis 1777...

L’église de Carouge est placée sous le vocable de l’ « Exaltation de la Sainte Croix » ou « La Croix Glorieuse ». Classée monument historique en 1923, elle est, depuis 1979 au bénéfice d’une protection fédérale. Au milieu du XVIIIe siècle, le Roi de Sardaigne décida de créer une ville aux confins de son Royaume, face à l’opulente Genève. Victor-Amédée III charge l’architecte Giuseppe Piacenza (Plaisance) de tracer un plan directeur pour Carouge et de dessiner un projet d’église. Le dessein royal était de réaliser une église grande et majestueuse qui deviendrait le centre de la ville; elle serait son monument le plus important. Les travaux commencèrent en octobre 1777. Très vite la configuration du terrain, nappe d’eau, engendra de lourdes dépenses, lesquelles compromirent la réalisation complète du plan de Plaisance. Le 11 juin 1780, Mgr Biord, évêque de Genève résidant à Annecy, consacra la royale église de la Ville de Carouge. 

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La voix de l'orgue

Andrea BonifortiL’orgue peut rendre la grandeur des choses que l’on ne dit pas et donner à l’assemblée l’envie de chanter, nous rappelle Andrea l’organiste titulaire de Ste-Croix. L’instrument est solennel ou discret. Il est enveloppant. A Carouge on entend bien à la fois l’orgue et l’assemblée. L’orgue Il ne doit pas dominer l’assemblée. L’acoustique donne une grande profondeur à l’instrument. Elle est toutefois meilleure quand l’église est pleine. L’orgue de notre église date de 1837 et a été rénové en 2010.

Né à Milan Andrea y a fait ses études d’orgue avant de les poursuivre à Bergame, puis à Genève en 1996 pour se perfectionner au Conservatoire supérieur de musique. Depuis le 1er avril 2016, il tient l’orgue de la paroisse. L’organiste est un acteur liturgique. C’est une responsabilité. S’il n’accompagne pas le chant de l’assemblée, il aime improviser pendant l’offertoire ou la communion plutôt que jouer une pièce composée, dont la durée ne serait pas ajustée. Il apprécie aussi la messe grégorienne qu’anime Sabine un samedi par mois. Andrea instruit en outre des élèves en piano, harmonie et solfège. Chaque jour il est nécessaire de jouer 4 à 5 heures, pour mettre en pratique les études. Et aussi pour préparer les concerts, par exemple à la cathédrale St-Pierre, dont il connaît bien l’orgue.

JDF

Photo : Andrea Boniforti

Troubadour mécanique

Clocher Ste-Croix

Le carillon de l'église Sainte-Croix est le deuxième plus important de Suisse, en nombre de cloches !... De deux clochers prévus initialement, selon les plans de l'architecte italien Giuseppe Piacenza en 1777, un seul fut construit, puis détruit pendant la Révolution française. On construisit un nouveau clocher en forme de campanile, trop haut, qui ne résista pas aux sonneries et se fissura. On le remplacera par un clocher décoratif puis par le clocher actuel, hautement réhaussé en 2001.

36 cloches (fa#3, sol#3 – fa#6) 1 Aubry XVII,
1 Piton 1789, 1 Kervand 1839, 33 Rüetschi 2001

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La Croix glorieuse...

... fêtée le 14 septembre

croix GA
C'est sous le vocable de l' «Exaltation de la sainte Croix» ou «Croix Glorieuse» que l'église de Carouge est placée. On raconte que le roi Victor-Amédée III souhaita lui-même cette dédicace pour l'église de sa Ville royale en mémoire du maître-autel de la Cathédrale St-Pierre de Genève, avant la Réforme.

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Situation de l'église Sainte-Croix

L'église paroissiale Sainte-Croix est ouverte tous les jours de 7h30 à 19h30.

Centre paroissial Sainte-Croix

Le Centre Ste-Croix est destiné à accueillir les différentes activités pastorales de la paroisse et de l'unité pastorale. Il se veut également ouvert à d'autres événements en lien avec la célébration de temps-forts de la vie chrétienne (réception à l'occasion de baptêmes, mariages, sépultures) ou associative (réunions, assemblées générales des sociétés carougeoises, etc.).

Le secrétariat paroissial est à votre disposition pour toute question à ce sujet. Vous pouvez le contacter à l'adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Equipe pastorale

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Conseil de Paroisse Ste-Croix

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J'aide ma paroisse Ste-Croix

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ÉGLISE CATHOLIQUE ROMAINE - GENÈVE

UNITÉ PASTORALE CAROUGE- SALÈVE-ACACIAS

PAROISSES VEYRIER, TROINEX, COMPESIÈRES, SAINTE-CROIX & SAINTE-CLAIRE

Compte postal 15-927550-7| IBAN CH16 0900 0000 1592 7550 7 - UP Carouge-Salève-Acacias - 1227 Carouge GE

Pour les paroisses Sainte-Croix et Sainte-Claire :
22, rue du Collège | CP 1632 | CH - 1227 Carouge GE | Tél. +41 22 342 27 68 | info@upca.chSecrétariat - Caroline Fabre - ouvert les lundis, mardis, jeudis et vendredis - de 8h30 à 15h
________________

Pour les paroisses du Salève (Veyrier, Troinex, Compesières) :
4 chemin Emile-Dusonchet, 1256 Troinex / 022 784 31 03 / troinex@cath-ge.ch
Secrétariat ouvert les lundis et mardis de 9h à 12h30 puis de 13h30 à 17h et mercredis de 8h à 12h

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1227 CAROUGE / SAINTE-CROIX - Église : place du Marché - IBAN CH37 0900 0000 1200 1699 8  

1227 LES ACACIAS / SAINTE-CLAIRE - Église et chapelle :15, rue du Grand-Bureau - IBAN CH29 0900 0000 1201 2995 3 

1255 VEYRIER / SAINT-MAURICE - Église : place de l'Eglise 13 -IBAN CH90 0900 0000 1201 3040 7

1256 TROINEX / SAINTE MARIE MADELEINE - Église : Chemin Emile-Dusonchet 4 - IBAN CH08 8080 8003 3328 1985 6

1257 CROIX DE ROZON / COMPESIÈRES - Église : Rte de Saconnex d’Arve 300 - IBAN CH36 8080 8009 3392 7624 4

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1257 CROIX DE ROZON / COMPESIÈRES - Église : Rte de Saconnex d’Arve 300 - IBAN CH83 0900 0000 1200 5584 3